La Royauté Tsuchi

[Clythorix]

"Je suis Clythorix, et tu as parfaitement compris mes paroles. Néanmoins, je mentraine pour l'instant sur de petits djins histoire de produire des éclairs plus gros et plus puissants. Mais un jour je serai prete et ta compagnie ainsi que celle de ce beau chevalier me sera précieuse"

[Lundar]

Yukikaze-chan, tu écoutais aux portes ? Je ne te pensais pas...euh... à ce point ! Enfin bref, si tu es réellement capable de soigner, nuls doutes que ta compagnie sera appréciée ! Quant à vous Clythorix, je partage votre point de vue dans son intégralité, ou du moins ce que vous m'en avez exposé !

Lundar s'adresse aux deux femmes :

Puis-je vous offrir quelque chose à boire pour que nous discutions un peu des "modalités" de notre association.

En prononçant cette phrase il avait un sourire non dissimulé, il paraissait sincèrement heureux.

[Yukikaze Yukishiro]

En entendant le "-chan", Yukikaze se raidit. Elle supporta chacune des allégations de Lundar avec un embryon de maîtrise de soi, et resta coite.

[Clythorix]

Clythorix accepta naturellement l'offre du valeureux chevalier étant donné qu'apres les nombreux combats qu'elle avait fait, sa gorge s'était asséchée.
Il s'assirent donc à une table et interpellèrent l'aubergiste.

[Dali S]

Et là.... au moment meme où la jeune demoiselle (ou devrais-je dire la reine du royaume Reikon) demanda l'aubergiste, un jeune inconnu, lourdement vétu d'habits entierement déchirés et encrassés, fait son apparition soudaine dans cette taverne, pourtant isolée du monde.
Personne ne le remarqua, à part un individu digne d'une grande attention envers la moindre entité sur cette planete, Lundar. Apres avoir contemplé cet inconnu , il cru reconnaitre sous son chapeau, ternit par la tempete, le visage d'un mizu! Pour confirmer son interlocution, Lundar decida d'interpeler ce suivant. Mais avant meme qu'il ne dise mots, celui ci, sans meme levé la tete pour le dévisager, lui repondit: " Oui brave Lundar, je suis bien un Mizu, je suis Dali S, sorcier du royaume mizu.
Que vas tu faire Ohh Chevalier ?? me tuer devant tous ses braves gens et ses deux jolies demoiselles juste pour prouver ta bravoure et ta fidélité envers ton peuple??ou ce sont ces deux femmes qui le feront a ta place??"

Ce dernier resta tétanisé par son audace et ne sut dire le moindre mot avant meme que Dali S ne retorqua.

Dali S: "Personnellement je ne veux point de querelles entre nous, et encore moins dans cette auberge. Si j'ai fait tout ce voyage c'est seulement pour visiter les alentours de notre belle planète Sistearth, et aussi pour parler de votre roi.
Comme vous le constater , rien ne vas plus dans votre royaume, l'attitude de votre roi m'attriste, croyez en moi! et pour cette unique cause j'aimerais vous aidez dans votre recherche du second. Mon idée serait de prendre le plus valeureux et le plus fort (en ratio et non en niveau) de vos sujets du royaume tsuchi, celui ci sera digne de diriger votre patrie. Laissez couler une semaine avant de choisir l'élu, il sera fort préférable pour vous et votre compagne mage de vous surpasser pour acceder a ce trone.
Je pense, pour ma part, que c'est la meilleure solution qu'il convienne au Tsuchi et a son histoire."


Ceci achevé, le jeune mizu, épuisé par cette journée lancinante de marche à pied, se posa au comptoir et demanda uniquement un verre d'eau.

[Lundar]

Lundar avait attentivement écouté Dali S, ces deux la se connaissaient, ils avaient déjà eu l'occasion de se parler, à propos d'une affaire que Lundar n'oublierait pas. Lundar regarda en direction de Dali S au comptoir et s'adressa à lui.

Tu sais jeune sorcier, comme nous en avons déjà parlé lorsque tu m'as demandé de me joindre à toi pour fonder un puissant clan, je ne porterai jamais la main sur toi ! J'ai apprécié ton honneur et ta volonté, choses qui sont propres aux Tsuchis et non à ton peuple. Cependant si tu te moques de moi ou que tu fais quoi que ce soit à l'encontre de mon honneur ou d'une personne qui m'est chère... Je ne te promet pas de me retenir, car je n'ai pas prété le serment de ne jamais te porter un coup. Et saches que les Tsuchis sont bien plus civilisés que vous ne voulez le croire vous les Mizus. Cette taverne est un lieu neutre et paisible, et en aucun cas je ne troublerai sa tranquilité. Mais s'il s'avérait que tu me cherches querelle, je serai ravi de t'affronter en duel.

Lundar ajouta en regardant ses deux comparses Tsuchis et ajouta à l'attention du Mizu :

Viens boire à notre table et ne te soucies plus de choses qui ne te regardent que très peu...

[Genji]

Tapis dans un coin de la taverne, un jeune enfant porta un simple vers d’eau ses lèvres. Il semblait perdu dans ses pensées mais en réalité, il écoutait discrètement la conversation qui avait lieu un peu plus loin. Quelqu'un cherchait à renverser le roi ! Voila qui allait mettre des bâtons dans les roues de l’Akatsuchi, il leur faillait un roi faible et facile à manipuler dans l’ombre tels que Séphirot, une autre alternative aurait été de propulser un de leur membre sur le trône mais il était encore trop tôt… Voila une sorcière qui inspirait beaucoup de craintes à Genji avec ses idées révolutionnaires. Toutefois un sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu’il observa la suite des événements, le chevalier semblait plus intéressé par les deux femmes que par leur plan et Yukikaze ne semblait pas capable de rester calme plus de quelques secondes. Le petit Shin’rin garda son rôle d’espion jusqu’à ce que celle qui semblait être la meneuse sorte de la taverne. Mais Clythorix prit alors la parole, changeant de sujet pour en venir à quelque chose de bien plus ordinaire, leurs pires ennemis : les Mizus. En proposant de les attaqués, elle avait manifestement  réussi à faire oublier la révolte. C’était bien joué de sa part et pour Genji, il était temps de s’en aller, bien que le mouvement semble peu dangereux, il fallait immédiatement prévenir les autres membres de l’organisation.

[Coco]

Tranquillement assis à sa table en train de boire pour bouteille de raku-raku enfin de se détendre des quelques combat mené contre les traîtres et les djinns perturbant la tranquilité de son royaume,un sorcier dont nul n'avait fait attention se leva et s'approcha de la table à laquelle été assis ceux qui par leurs discours avait ravivé son visage d'un sourire.
Tandis qu'il approchait de cette table l'atmosphère devint lourde est oppressente,les braves combattants le regardèrent avec méfiance,posant leurs verres on sentait qu'ils été pret à toutes éventualitées,pourtant posant sa bouteille de raku-raku presque vide sur leurs tables,l'inconnu,sur un ton respectueux et d'une voix très apaîssante(ce qu'il paraissait troublant au vu de ses traits de visage torturé) il se présenta:

-Bonjour à vous nobles combattants,je me présente,je me nomme Coco,je suis sorcier débutant.

Toujours méfiant ces combattants le regardèrent en attendant de voir la suite de ses paroles.

-Depuis un moment j'écoute vos discutions,je m'en excuse,mais vu votre discrétion cela aurait été difficile de faire autrement,je ne suis pas venu vous chercher querelles,je souhaité juste me présenter à ceux qui par leurs nobles paroles on réveillé ma soif de combats et de puissance.

Et regardant Dali s assit à la table des combatants Tsuchi il sourit.

-Je suis heureux de voir que même en temps de guerre il puisse y avoir ce respect entre certain combatants de royaumes ennemis.

Il reprit sa bouteille et en ce dirigant vers la porte de la taverne il leurs dit ces dernières paroles:

-Je pense que nous nous reverrons prochainement,aurevoir nobles comabatants.

Puis il sorti afin d'aller finir son brevage couché au pied d'un arbre de son royaume.

[Felonn]

Je ne nierai pas que j’ai été plutôt inactif ces derniers jours, ce pendant, je voudrai faire par à tous les Tsuhis que ça n’était pas de mon ressort, mais simplement ma connexion Internet qui me posait des problèmes. Sachez cependant que je ne conte pas me défiler ni fuir mes devoirs, et bien que je ne puisse obliger personne à croire en moi, je ne conte pas rester les bras croisés au château à attendre que les autres se battent pour le royaume que JE représente.
Roi ou pas, je suis un guerrier Tsuchi, et je ne fuirai pas devant la bataille, quelque en sois les adversaires, je tenterai de protéger le royaume autant que me le permettra ma force.

[Clythorix]

Une fois son verre finie, Clythorix se lève de son tabouret, regarde une derniere fois le beau chevalier en lui faisant un sourire qui ne laisserait aucun homme indifferent.

 Au revoir et a bientot messire

puis elle se retourne, enfile sa cape et sort de la taverne d'un pas assuré.

[Yindo]

A l’instant ou Clythorix poussa la porte de la taverne, elle put voir son équipier, Yindo Ichikawa.
Il était loin de s’attendre à rencontrer une connaissance aussi fit-il juste un petit signe de tête a la jeune sorcière et franchit le pas de la porte. Tous les clients virent alors une grande silhouette noire, habillée d’une longue robe noir avec des motifs de nuage rouge brodé dessus. Particularité du personnage, son masque empêchait quiconque de voir son visage ce qui avait tendance à effrayer les gens qu’il rencontrait.
Une fois sont entrée théâtrale finit, il aperçu Lundar, un brave chevalier qu’il avait croisé lors d’un petit combat.
Ne recherchant pas particulièrement la solitude, il vint le plus naturellement du monde s’assoire à ses cotés sans mot dire, attendant une réaction.

[Yukikaze Yukishiro]

Yukikaze se gratta la tête, puis l'oreille.

Connais-Xion-un-terre-n'es-the? Etait ce une nouvelle incantation dont elle ne maîtrisait pas l'arcane, ou alors simplement avait elle mal entendu ce que disait le roi? Elle triturait ses méninges et se souvint soudain que le roi avait dit être un chevalier... Ce n'était donc pas un sort... Elle secoua sa longue crinière qui commençait à sécher, intriguée.

[Lundar]

Après le départ de Clythorix qui semblait avoir à coeur, tout comme lui, de faire du royaume Tsuchi une puissance inébranlable, passant par une royauté sans faille (le roi avait quelque peu expliqué ses problèmes et remontait (un peu) dans l'estime de Lundar, même si tout n'était pas clair), Lundar se laissa aller à se détendre dans une posture peu utilisée sur sa chaise.

Il sentit quelqu'un s'asseoir à ses cotés et reconnut la silouhette de Yindo, un sorcier aussi puissant que sage, qu'il avait brièvement rencontré lors d'un combat, et avec qui il avait sympathisé.

"Bonjour à toi noble sorcier, je suis heureux de te revoir, de plus en bonne santé ! Te joindrais-tu à moi pour boire en l'honneur du peuple Tsuchi ? Et aussi pour me raconter la suite de ton combat."

Lundar semblait satisfait de voir arriver enfin une personne qu'il "connaissait", aussi avait il prononcé cette phrase sur un ton chaleureux dans lequel on pouvait saisir une invitation sincère et le désir de faire connaissance.

[Jowy]

Contrairement à la majorité de la prestigieuse assemblée rassemblée dans cette célèbre taverne (un peu cher le saké mais bon...), je pense qu'il faut etre un peu plus indulgent envers notre roi....

Son problême de Connais-Xion-un-terre-n'es-the est déjà une raison valable, mais rappellons aussi qu'il n'a pas choisi d'occuper cette fonction...

Dans ce cas me direz vous, ça peut signifier qu'il est incompétent, mais il faut quand meme lui montrer un minimum de respect, en attendant l'avènement du prochain souverain.

-ce petit discours m'a donné soif, mais j'ai pas le temps de prendre un verre, Genji, Yindo et Clithorix sont déjà parti, et ils sont bien capable de pas m'attendre pour rentrer au QG  de l'Akatsuchi...-

[Yukikaze Yukishiro]

En épelant les mots, doucement, Yukikaze demanda à la personne connue sous le nom de jowy s'il savait ce que c'était que ce Connais-Xion-un-terre-n'es-the et comment cela pouvait il occasionner des problèmes. Elle enchaîna :

"Et dites moi aussi, mon brave, je respecte le roi actuel pour ce qu'il est et j'entends bien le renverser. Et pour cela, j'ai besoin de l'appui du peuple Tsuchi. Et cela, personne ne peut le gagner avec des armes ! La seule chose que je puisse proposer, c'est de se porter en sa défaveur. Après, ce sont les raisons qui importent. Peut être me suis-je laissée un peu trop emporter par le courant oratoire qui m'habitait alors, j'en suis confuse. Ah, si vous saviez... je ne suis vraiment pas à la hauteur de mes idéaux...

Hé, tavernier ! Un raku-raku pour lui, mets le sur mon ardoise !"