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Sujets - Yukikaze Yukishiro

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Créatures / Jeune homme cherche...
« le: 14 Fév 2007 15:20:42 »
Lulu cherche une partenaire, c'est un Korrigan au teint rose et frais, il est prêt à faire plein d'enfants à vos demoiselles...

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Général / Port, défense des villes et failles.
« le: 14 Jan 2007 00:48:59 »
On va prendre une situation de base. Les mizus veulent faire la guerre aux tsuchis.
S'ils sont malins, ils vont tous aller sur Mirage ou sur Aurore, et prendre tous en même temps le billet pour Denkaro. Et là, rien ne pourra résister à l'attaque. On aura une troupe de mizus en pleine ville tsuchie. Ca marche pour tous les peuples, sauf que le port tsuchi est plus près de la ville que tous les autres.
Skarsnick m'a apporté une nuance, en me disant que les assaillants se retrouveraient quasiment dans l'enceinte des murailles de la ville. Oui, mais les bâtiments peuvent être dans le coin. Et il y a d'autres implications.

D'ailleurs, je fais appel à votre fair play pour ne pas utiliser ce truc. Et je ne parle pas qu'aux Mizus, je m'adresse à tous les peuples.

Une solution? J'ai une proposition à faire. Au lieu de mettre une taxe à la sortie du port, je propose de la mettre à l'arrivée du bateau. Mais là encore, il y a un hic, c'est que si un peuple X contrôle Aurore, le peuple Y, ennemi de X, ne pourra pas y aller parce que la taxe sera de, mettons, 200 GP.

Mais comment parer à cet abus de jeu?

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J'avais deux idées d'objets...

Panacée : Le liquide doré de cette petite fiole nettoie votre corps et votre âme de toute ses impuretés.
Effet : soigne le poison, les blessures profondes et toutes les malédictions.

Prix indicatif : 150-200 GP (c'est super fort quand même)

Alchimie : Valeur en PE : 20.
Recette de l'ambroisie - 20 énergie + 12 PA = Panacée

Baume salvateur : une application de cette pâte brune sur une fracture ouverte ressoude l'os et retisse les fibres musculaires. Il est même dit que ce baume peut tirer du coma. C'est un outil de soin parfait, si ce n'est son odeur rance...
Effet : Ressucite un PJ comme le sort résurrection (mais au contact).

Prix indicatif : cher, très cher.

Energie : 40 PE

Recette de l'onguent brun de Khaz
40 PE + 40 PA = Baume salvateur (mais là, c'est tellement fort que j'ai peur qu'il faille rehausser le coût en PE)

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Améliorations & Idées / Riposte automatique
« le: 05 Jan 2007 20:26:36 »
J'aurais aimé un bouton "Riposte automatique" dans les options du personnage, qui permettraient aux moins geek d'entre nous de ne pas se faire exploser par les ultra-geeks. Je m'explique. Cette fonction serait une simple case à cocher/décocher, et, si la fonction est activée, à chaque fois que le personnage est attaqué, il répond s'il le peut par une compétence par défaut (poings/décharge d'énergie) moyennant ses PAs. Exemple :

X a 17 PA et est sorcier (et il a activé le mode riposte), au moment ou Y l'attaque.

Première attaque de Y : X riposte (17-7 = 10 PA restants pour X)
Deuxième attaque de Y : X riposte aussi (10-7 = 3)
Troisième attaque de Y : X ne peut plus riposter.

---

Utilité : le système de PAs est pas mal, mais faire des attaques full PA, c'est pas très RP, et un type qui peut riposter en face ne va théoriquement pas se gêner pour le faire...

Point faible : ça avantage les archers qui ne se prennent pas de ripostes et les chevaliers qui peuvent riposter fort avec leurs lames.

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Créations roleplay / Tortue Innocente
« le: 26 Fév 2006 00:44:01 »
Un couloir sombre, seul le reflet de la lune éclairait le passage qu'empruntait en ce moment Yukikaze. Cet endroit était généralement désert, et ce fut pour cette raison que la lueur d'une bougie vint perturber ses pensées. Qui pouvait bien se terrer dans ce coin reculé, et a une heure pareille de surcroit? Cela ne présentait rien de bon... Pas à pas, le plus discrètement possible, la magicienne laissa courir son imagination : n'était ce pas une infâme trahison ou une secrète histoire d'amour?

Pourtant la réalité fut bien moins palpitante : ce n'était que Genji et il était seul.

Yukikaze se demanda un instant : "A qui sont ces appartements?" Elle retint la position de la salle dans le vaste édifice, se promettant un jour d'y revenir. Mais sa curiosité fut attirée par le garçon au centre de la pièce.

Celui-ci semblait mal en point : tout un côté était comme on le lui avait dit, le djinn l'avait salement amoché, mais aux dessous des blessures physiques que sa magie pouvait guérir, c'est dans son âme que le jeune garçon souffrait le plus ! Selon lui, il avait fait honte au clan qui avait daigner le recueillir. Ces derniers temps, il avait atteint des sommets et travaillait sans relâche pour se rendre utile mais à force de travailler et de gagner en confiance, il avait fini par commettre une grave erreur : sous-estimer son adversaire.

La suite, tous les membres de l'Akatsuchi la connaissent.  


"Genji, tu veux un coup de main?"

Le ton de Yukikaze était net, sans aucune once d'affection. Elle semblait parler à Genji d'égal à égal mais au fond d'elle, la compassion la torturait. Elle sentait bien qu'il n'arrivait pas à panser ses blessures correctement à cause de la douleur qu'il éprouvait sans doute... Blessé à son âge... Même elle n'avait pas combattu de Djinns à neuf ans. Sa main experte tira un bandage de sa ceinture obi et ses doigts remontèrent machinalement, l'espace d'un instant sur sa cicatrice et elle frissonna.

En temps normal, Genji était bien trop fier pour se laisser materner de la sorte, surtout par celle qu’il considérait comme la folle du groupe ! Cette impression lui était restée depuis qu’il l’avait vue dans une taverne, à tenter de créer une révolte. Mais ce soir était spécial, sa fierté et son honneur étaient partis en fumée.


"Oui, ...s'il te plait, ça pique..."

Les mots étaient sortis de la bouche de Genji contre son gré. La givrée allait le soigner, comme s'il n'avait pas pu le faire lui-même... Pouvait il le faire seul? Il ne le pensait pas, mais continua de se morigéner. Il aurait au moins pu avoir l'air plus... grand ! Et voilà qu'il jouait à l'enfant ; de toute manière, au point où il en était, rien ne pouvait être pire.

"Ne bouge pas, j'arrive.
-Mouais, merci, dit Genji, d'un ton réticent."

Genji avait fini de nettoyer sa blessure. Il était dos à elle, à genoux et torse nu, le baquet d'eau chaude teintée de sang fumait à ses pieds. Ses vêtements étaient posés à côté de lui, son l'anneau de l'akatsuchi qu'il portait au cou dessus. Elle voyait le caractère "tortue" inscrit en blanc sur la pierre noire. Son regard s'obscurcit. L'Akatsuchi ne donnait jamais les bagues au hasard, et si elle avait hérité de la Colère pourpre, ce n'était pas pour rien.

La blessure de Genji était presque refermée grâce aux soins magiques qu'il y avait apporté, mais cela ne suffisait visiblement pas. Son dos frêle était tout contusionné, et Yukikaze prit grand soin d'essuyer sa peau d'enfant avec le plus de douceur possible. Ensuite, elle se mit à son côté et banda son épaule gauche en n'omettant pas le bras que Genji devrait garder en écharpe quelques jours. Elle remarqua que Genji était tendu, comme si la proximité d'un adulte l'angoissait.

Une fois le bandage fini, elle repassa dans son dos et massa doucement le côté de son corps qui n'était pas tuméfié. Genji soupira. Elle se tourna ensuite pour masser le flanc droit de l'enfant, et vit sur son plexus une tache de naissance. Une jolie petite tache en forme de tortue. La bague... La tortue blanche, la tortue innocente. Elle avait devant elle son enfant, celui qu'elle avait laissé à son amie quelques années auparavant... non, impossible, elle ne s'appelait pas Shin'rin... Mais elle avait pu se marier...  C'était certainement le cas. Yukikaze ne put résister à l'envie cruelle de le prendre dans ses bras, son enfant. Proie d'une joie bien douloureuse, elle pleura amèrement son erreur. Les années de l'enfance de Genji étaient perdues dans les méandres du passé.

En gardant un ton qui se voulait le plus neutre possible, Genji articula malgré la douleur qui lui coupait le souffle un "tu me fais mal !" rageur. D'un coup de son épaule droite, se dégagea de l'étreinte de Yukikaze. Le geste fut douloureux mais le libéra du poids de la jeune femme.

Blessée, Yukikaze tenta de s'exprimer par hoquets :


"Désolée, je te fais mal? Oh, Genji ! Je... Tu sais que j'ai eu un passé tortueux, et plein de... d'a-aventures, de... J'ai autrefois connu un homme... quelqu'un, et j'ai... eu un enfant avec lui."

Les pensées de Yukikaze, se contredisaient... En ce moment de grande solitude, elle trouvait la joie des souvenirs passés, et celle d'avoir retrouvé son enfant. Mais elle ressentait aussi la douleur nostalgique que lui infligaient ces moments passés comme des milliers d'aiguillons chauffés à blanc. Son tourment ne s'arrêtait pas là. Son pire supplice était de voir que la roue du temps avait tourné en les laissant loin de l'autre, en le privant de mère et elle d'enfant. La honte et la tristesse la submergeaient mais ses larmes de bonheur surpassaient en force tout ce qui l'empêchait d'être heureuse.

"Cet enfant, je ne pouvais pas le garder, alors... je l'ai... abandonné. (Elle baissa la tête, puis la releva) Je l'ai confié à une amie à moi, Mitsuko. Et je lui ai demandé de veiller sur ... toi. Il avait une manifique petite tache de naissance... Oh, Genji, je suis si désolée ! Si j'avais su ce que je manquais, j'aurais tout, tout abandonné pour toi ! Je sais bien que l'argent que j'ai envoyé à Mitsuko ne remplace pas une vraie mère, mais j'ai confiance en elle ! Tout est fini, maintenant, nous sommes ensemble, hein, Genji?"

Genji déglutit soudain, non sans mal, et resta les yeux exorbités devant Yukikaze et se remémora chacun de ses mots... Personne ne connaissait le nom de ses parents, ni le fait que sa mère adoptive lui envoyait de l'argent. Mais il refusa cette vérité, ce devait être une très mauvaise farce!

"J'ai toujours pensé qu'il te manquait une case mais là, tu dépasses les bornes !"

Le tumulte de sentiments qui assaillait Yukikaze, retentissant dans son esprit comme un puissant hymne, fut contrarié par la simple phrase de Genji, qui résonna en elle comme la discorde ultime. En un instant, elle avait connu le bonheur. La fureur l'envahit et d'un coup sec elle claqua Genji de toutes ses forces. Elle enleva sa main et vit une marque rouge qui commençait à poindre sur la joue de son fils.

La joue violacée par la gifle, le garçon ferma les yeux et le sol s'humidifia de ses quelques larmes. Il ne put pas accepter, il fallait qu'il fuie cette réalité! Rouvrant les yeux, Genji s'enfuit aussi vite qu'il put, en prenant bien soin de garder la tête haute, espérant que l'effet de surprise empecherait sa... "mère" de l'intercepter.

Yukikaze tomba à genoux, brisée. Son propre fils la reniait... que lui restait-il? Rien? L'espoir fit lumière dans son esprit tourmenté. Si, elle pouvait le rattraper ! Elle se releva.

Elle courut dans les couloirs sombres et tranquilles, sans se soucier d'éveiller quiconque. Elle criait "Genji!" avec une intensité qui n'échappa pas aux témoins de la scène. Elle le retrouva enfin, petite silhouette courant au hasard des couloirs. Sa voix s'éleva une fois de plus, et enfin, elle l'atteignit alors qu'il était en train de traverser la taverne. Un étau enserra Genji, mais sa douceur le surprit. Le léger kimono de Yukikaze tombait presque - la course l'avait mis sens dessus dessous- elle ne fit aucun geste pour le remettre en place. Elle tenait une fois de plus Genji dans ses bras, contre sa peau à demi nue. Les deux membres de l'Akatsuchi présents dans la salle tournaient leurs regards vers cette scène insolite.

Clythorix laissa tomber son gobelet de thé épicé sur la table basse à laquelle elle était assise. Il éclata, et le liquide, en se répandant sur le bois, lui donna une teinte sombre particulière. Elle était surprise par ce spectacle. Elle voyait à présent un air de famille. En effet, Genji avait quelque traits de son amie Yuki. Clythorix trouvait étrange que cette crise ne fasse surface que maintenant. Elle était curieuse d'en savoir plus, mais son instinct guerrier lui souffla une idée qui la laissa perplexe. Des liens de famille dans l'akatsuchi risquaient sûrement de corrompre les liens du clan. C'était la porte ouverte à tout favoritisme. Encore sous le choc, elle préfera ne pas intervenir, ses yeux rivés sur la scène et ne se rendant même pas compte que le thé commençait à tacher sa tenue. Cet évenements la laissa étrangement perturbée et agir sans avoir les idées au claires n'était pas dans ses habitudes.

L'esprit analytique de Tai, recrue récente au sein de l'Akatsuchi, établit plusieurs hypothèses en une simple seconde. Il se demandait si Yukikaze était la mère du jeune garçon. Cela était possible, mais il en doutait fort. Bien que leurs âges aient pu confirmer ce point de vue, l'esprit du jeune sorcier, rationnel, pensait plutôt que Genji venait d'apprendre le décès de sa mère, et que Yukikaze venait le consoler. Genji, secret, ne lui avait jamais parlé de sa mère - ni de son père, ni de sa vie en dehors de l'Akatsuchi. En fait, Genji ne lui avait rien dit de personnel. Quant à Yukikaze, si elle lui avait parlé de son passé douloureux, des trahisons qu'elle avait essuyées, Tai pensait bien que sa vie ne se résumait pas à cela. Cela aurait pu être un abus deraku raku de la part de l'enfant, songea-t-il ironiquement, et il aurait alors pris Yukikaze pour sa petite amie... Un sourire se peint sur les lèvres de Tai, mais ses questions restaient sans réponse.

Doucement, Yukikaze approcha sa main du visage de son fils afin d'y sécher les sillons de larmes. Sa main était fébrile, tremblante, comme si elle n'osait faire le moindre geste brusque de peur que Genji ne s’enfuie ! Mais finalement, l'enfant se laissa faire. Il venait de retrouver un membre de sa vraie famille, celle qui avait toujours veillé indirectement sur lui. La blessure béante qui déchira son cœur lorsqu’il apprit qu’il avait été adopté venait de cicatriser mais il faudrait encore du temps… Ce n’est qu’à ce moment qu’il se rendit compte à quel point sa mère pleurait, et ce à cause de lui ! Alors, avec son sourire espiègle, il sécha lui aussi ses larmes et vint se blottir contre les fines épaules de sa mère. Seulement étant de nature curieuse, il ne put réprimer bien longtemps une question essentielle :


"Qui...qui est mon père alors?"

Les yeux de la magicienne semblaient toujours emprunt d’une peine immuable mais elle répondit avec un ton plus enjoué qu’il avait déjà eu sa dose de révélations pour la soirée... et qu’il était grand temps pour lui d’aller au lit !  

[Ce RP a été réalisé en grande partie par Genji, mais il tenait à ce que je le poste. Je remercie Tai et Clythorix pour leur participation...]

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Je me disais que donner des noms plus élégants à certains totems ou passages pourrait être agréable...

Je m'explique. Les noms des royaumes ont chacun deux syllabes, et on peut les mixer idéalement...

Donc, par exemple, pour le totem sur la route Seizon-Reikon, on a deux possibilités :

Totem de la route Reizon/Seikon

Du coup, on a :
Mizu+Tsuchi = Michi/Tsuzu
Mizu+Reikon = Mikon/Reizu
Mizu+Seizon = Mizon/Seizu
Tsuchi+Reikon = Tsukon/Reichi
Tsuchi+seizon = Tsuzon/Seichi
Seizon+ Reikon = Reizon/Seikon

C'est une idée sans prétention, je l'utilise déjà pour parler des alliances ou des guerres... Après, c'est sans doute trop obscur pour des joueurs qui manquent d'expérience. J'imagine bien les conversations "c'est quoi Tsuzon?"
...

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Forum Gamer / Vous n'êtes pas Gamer
« le: 10 Fév 2006 00:42:06 »
Qui n'a pas d'autre jeu que Sistearth?

(Preum's)

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Le système de prison permet l'intervention du roi dans une certaine mesure, mais, à mon avis, parce que c'est difficile à coder, il est impossible de changer quoi que ce soit sur les détenus eux mêmes.

Je trouve ça assez illogique. Même en Europe, on a des systèmes de réduction de peine, voire d'amnistie. Je pense que le pouvoir d'amnistie devrait être un pouvoir de roi.

Je vais citer mon exemple (désolée pour la répétition du topic bugs) :

J'étais traîtresse et me suis faite tuer. La durée d'incarcération était de 15 heures / PT.

Mon clan a fait une démarche, demandant au roi si je ne pouvais pas sortir plus tôt. Celui ci, ayant décidé de m'accorder sa grâce, a baissé le temps d'incarcération, puisqu'il n'y avait d'autre moyen d'influer sur l'emprisonnement. Et ça ne marche pas...

Je trouve simplement dommage que les limites techniques du jeu ne permette pas de réaliser ce qui se ferait plus ou moins en réalité. Le Rp se heurte au GP, et je trouve ça frustrant.

Autre suggestion, donc, ce serait qu'on puisse communiquer au moins... qu'on puisse demander audience au roi, si l'amnistie est possible, ou alors qu'on puisse parler à son clan.

Je suis désolée de vous avoir imposé mes doléances, mais ça me semblait injuste...

9
Créations roleplay / - Carnets d'une apprentie soigneuse -
« le: 14 Déc 2005 21:29:01 »
-Blessé et mourant-[/size]
Yukikaze avait tout juste fini d'apprendre les rudiments du métier d'infirmier quand elle sortit du château Tsuchi. Elle était fatiguée, et le crépuscule lui pesait sur les épaules aussi surement que l'obscurité endort.

Elle s'allongea dans la pelouse des jardins, ressassant ce qu'elle venait d'ingurgiter. L'incantation, les runes qu'elle devait tracer avec ses mains, l'imposition sur la blessure. Doucement, dans le vide, elle retraça les glyphes dont elle avait maintenant le secret jusqu'à percevoir l'onde d'énergie fourmiller dans son bras, n'attendant que le contact d'une blessure.

Elle soupira. Si peu de temps, et déjà tant de progrès. Elle se souvint des temps anciens, mais balaya bien vite ses pensées noires. Le ciel avait maintenant viré au violet bleuté de la nuit sans lune. A présent, lorsqu'elle traçait machinalement les symboles, elle entrevoyait la lueur de l'énergie même qui se dissipait.

Et soudain, elle entendit le cliquetis de bottes sur le dallage de l'allée du jardin. Elle reconnut la voix de l'homme blessé qui exhalait par râles, au seuil de la mort ; c'était Lundar, le chevalier qu'elle avait rencontré dans la taverne, celui qu'elle trouvait naguère si beau. Elle se précipita vers lui. Il était tout ensanglanté, blessé et un de ses bras était à moitié arraché - vraisemblablement par un Djinn. Yukikaze se précipita et le soigna, avec le plus d'intensité qu'elle le pouvait.


"Attention, ton bras va te faire assez mal. Attention... c'est parti ! "

Et elle prit sa respiration, se remit à incanter dans la nuit étoilée.

10
Il faut qu'on se mette d'accord sur une convention d'écriture.

Nous disposons de :

"guillemets, je pense utilisables pour les dialogues"

Gras. Pour le cri?

Italique, pour l'action?

Et ensuite des couleurs diverses et variées, pour les pensées?

des parenthèses et une mention HRP (HRP) pour ... LE HRP, oui !

On peut aussi dire

"blabla"
action
pensée

Plus simplement...

Qu'en pensez vous?

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La Taverne de la licorne blanche / La Royauté Tsuchi
« le: 05 Déc 2005 21:07:03 »
"Que fait la Royauté? Vous croyez vraiment qu'un roi daignant tout juste se déplacer sur notre vaste monde mérite notre soutien? Non, mes amis, rebellez vous !!!"

Debout sur une table, Yukikaze apostrophe tous les clients de la taverne ou ele se trouve.

"Si nous ne faisons rien, rien ne se passera !! Prenez-en de la graine sur Clythorix ! Elle, au moins, c'est une femme qui a des tripes ; elle, au moins, fait quelque chose ! Elle chasse les traîtres de notre bon royaume... pas comme ce minable de Sephiroth, qui reste sur son trône les bras croisés !!! Renversons notre roi !!"

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