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Créations roleplay / RoseIce
« le: 11 Mar 2007 20:18:28 »
Date : Masembran
Il faisait beau, la chaleur était intenable au dehors. Une silhouette apparut au loin qui se rapprochait en direction de l’auberge. C ‘était une jeune femme Mizu qui arrivait, blonde au cheveux longs relâchés sur les épaules. La robe qu’elle portait était démodée et légèrement trop grande pour elle. Elle avait appartenu à sa défunte mère mais elle ne pouvait se résigner à ne pas la porter. En souvenir de sa mère et de la haine qu’elle vouait aux Tsuchis qui l’avaient tuée.
Elle marchait d’un air décidé. La chaleur et la marche lui avaient rougi les joues et elle souhaitait rapidement pouvoir se reposer. Son épée la gênait pour marcher, elle avait encore peu combattu et on voyait à ses yeux qu’elle était jeune et manquait d’expérience.
La jeune chevalière entra dans l’auberge et un sourire se dessina sur ses lèvres au contact de l’atmosphère qui y régnait. Elle se dirigea directement vers le bar.
Bonjour, deux Raku raku s’il vous plait !
Au regard interrogateur que lui lança Gros Roger, elle répondit à la question qu’il n’osait poser.
Je n’attends personne, c’est pour moi, j’en prends tout de suite deux pour éviter de revenir commander trop souvent.
Elle prit les chopes que lui tendit Roger, le remercia et alla s’asseoir à une table libre dans un coin tranquille. Elle commença a boire son raku raku, et sa soif était grande, si bien qu’en une fois elle but la moitié de la chope.
Malgré son jeune âge, elle était habituée à boire de l’alcool et pour être ivre il lui fallait en boire une grosse quantité. Cela était à cause de sa mère qui enceinte buvait et avait habitué la chevalière à l’alcool.
La jeune fille avait été éduquée par un groupe de personnes qui s ‘étaient occupés d’elle à la mort de sa mère. Elle grandissait dans l’espoir qu’un jour elle pourrait se venger, parfois trop insouciante face au danger et distraite dans ce qui lui paraissait futile dans son éducation. Elle avait déjà reçu des demandes en mariage mais à ce moment là elle était trop jeune et elle avait immédiatement refusée, obsédée par sa soif d’apprendre à combattre.
Le soir, il lui arrivait régulièrement de passer des soirées au bar des Arraches, y trouvant réconfort et amitié. Elle y fit la rencontre de ses amis les plus cher : Misa pour s’empiffrer de bonbons, les Arraches pour boire et aussi Bono, puis elle avait rencontré les membres des Cœur de dragon.
C’est à force de travail et d’acharnement qu’elle finit par se faire remarquer, et bien qu’encore jeune, elle fut admise parmi les Arraches à sa plus grande joie.
Les pensées de la chevalière étaient ailleurs ce soir là. Elle pensait à l’homme qu’elle avait rencontré depuis quelque temps. Il lui avait fait changer sa vision de la vie. Il n’était plus question de ne vivre que pour sa mère, il fallait qu’elle pense aussi à elle. Elle l’aimait, et au premier regard qu’elle avait posé sur lui, elle l’avait su. Et même si elle aurait aimé en parler à ses amis, elle gardait l’identité de son amour secrète pour plus de tranquillité. Mais elle pensait que si un jour ils se mariaient, ils seraient bien obligés d’annoncer cela aux autres.
Il faisait beau, la chaleur était intenable au dehors. Une silhouette apparut au loin qui se rapprochait en direction de l’auberge. C ‘était une jeune femme Mizu qui arrivait, blonde au cheveux longs relâchés sur les épaules. La robe qu’elle portait était démodée et légèrement trop grande pour elle. Elle avait appartenu à sa défunte mère mais elle ne pouvait se résigner à ne pas la porter. En souvenir de sa mère et de la haine qu’elle vouait aux Tsuchis qui l’avaient tuée.
Elle marchait d’un air décidé. La chaleur et la marche lui avaient rougi les joues et elle souhaitait rapidement pouvoir se reposer. Son épée la gênait pour marcher, elle avait encore peu combattu et on voyait à ses yeux qu’elle était jeune et manquait d’expérience.
La jeune chevalière entra dans l’auberge et un sourire se dessina sur ses lèvres au contact de l’atmosphère qui y régnait. Elle se dirigea directement vers le bar.
Bonjour, deux Raku raku s’il vous plait !
Au regard interrogateur que lui lança Gros Roger, elle répondit à la question qu’il n’osait poser.
Je n’attends personne, c’est pour moi, j’en prends tout de suite deux pour éviter de revenir commander trop souvent.
Elle prit les chopes que lui tendit Roger, le remercia et alla s’asseoir à une table libre dans un coin tranquille. Elle commença a boire son raku raku, et sa soif était grande, si bien qu’en une fois elle but la moitié de la chope.
Malgré son jeune âge, elle était habituée à boire de l’alcool et pour être ivre il lui fallait en boire une grosse quantité. Cela était à cause de sa mère qui enceinte buvait et avait habitué la chevalière à l’alcool.
La jeune fille avait été éduquée par un groupe de personnes qui s ‘étaient occupés d’elle à la mort de sa mère. Elle grandissait dans l’espoir qu’un jour elle pourrait se venger, parfois trop insouciante face au danger et distraite dans ce qui lui paraissait futile dans son éducation. Elle avait déjà reçu des demandes en mariage mais à ce moment là elle était trop jeune et elle avait immédiatement refusée, obsédée par sa soif d’apprendre à combattre.
Le soir, il lui arrivait régulièrement de passer des soirées au bar des Arraches, y trouvant réconfort et amitié. Elle y fit la rencontre de ses amis les plus cher : Misa pour s’empiffrer de bonbons, les Arraches pour boire et aussi Bono, puis elle avait rencontré les membres des Cœur de dragon.
C’est à force de travail et d’acharnement qu’elle finit par se faire remarquer, et bien qu’encore jeune, elle fut admise parmi les Arraches à sa plus grande joie.
Les pensées de la chevalière étaient ailleurs ce soir là. Elle pensait à l’homme qu’elle avait rencontré depuis quelque temps. Il lui avait fait changer sa vision de la vie. Il n’était plus question de ne vivre que pour sa mère, il fallait qu’elle pense aussi à elle. Elle l’aimait, et au premier regard qu’elle avait posé sur lui, elle l’avait su. Et même si elle aurait aimé en parler à ses amis, elle gardait l’identité de son amour secrète pour plus de tranquillité. Mais elle pensait que si un jour ils se mariaient, ils seraient bien obligés d’annoncer cela aux autres.
